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La lutte est définitivement le sport national. A Palmarin, comme dans d’autres petits villages, il n’est pas rare que toute la population se mobilise autour de ce spectacle de plusieurs heures et de champions locaux. Des athlètes entraînés et coachés par des marabouts leur offrant les gri gri les plus bienveillants : cornes de zebu, plantes de toutes sortes, pierres précieuses. Aussi, femmes apprêtés et parieurs se retrouvent en fin d’après midi pour célébrer leurs champions jusqu’au milieu de la nuit, autour d’un terrain de sable. Folklore assuré.
Sur la route de la ville de Saint-Louis, célèbre pour l’aéropostale et pour avoir été le lieu phare de la vie de Mermoz, un arrêt dans le désert de Lompoul s’impose. Une exception géologique pour ce petit désert qui s’est formé sans que personne ne puisse l’expliquer. Un campement permet d’y passer une nuit avant de rejoindre Saint-Louis et ses maisons coloniales colorées. Très touristique, Saint-Louis permettra de goûter aux joies des cafés branchés où plusieurs concerts et lieux huppés sont présents. C’est ici que l’on pourra séjourner dans l’un des deux hôtels incontournables : La Résidence ou l’hôtel de La Poste. http://www.hoteldelapostesaintlouis.com.
Si votre voyage se prolonge vous permettant d’explorer le nord du pays, ne manquez pas le parc du Djouj. Des excursions sont organisées au départ de Saint-Louis. A 70 km et à la lisière de la Mauritanie, ce parc fait figure d’étapes pour des milliers d’oiseaux migrateurs qui viennent de traverser le Sahara. Créé en 1971, il s’agit de la troisième réserve ornitologique au monde avec, notamment, des pélicans et des flamands roses à observer entre deux crocodiles lézardant sur les berges des affluents du fleuve Sénégal.
Simple mais bien tenue, et à seulement quelques minutes de l’aéroport à Yoff N’Gorn, l’établissement est idéal pour une première nuit (Tél. 33 820 23 47, entre 16 000 et 23 000 francs CFA).
Situé sur l’île de N’Gor, la cuisine est succulente : Mafé (sauce mijotée à base d’arachide et de poisson séché), Djiboudjeune (poisson ou poulet mariné avec des oignons et des légumes sur du riz) ou plus simplement bien que tout autant savoureux, du poisson grillé… à des prix défiant toute concurrence.
Sur l’île de Gorée, il ne faut pas manquer le bouye (jus extrait à partir des fruits du baobab, ressemblant à une pina colada sans alcool) et le Diboudjeune de Mama Panda. Vous déjeunerez dans la cour de sa maison, au milieu des enfants et en admirant la maîtrise savante des plats et des épices de la mama face à ses plats, mijotés à la demande. Demandez le chemin, Madame est très réputée.
Toujours sur l’île de Gorée, « Au Bout du monde » mérite le détour. Un seul chemin y mène : la route principale, jusqu’en haut de l’île. Vous y rencontrerez Amy et Sidi, un couple de Sénégalais et sa famille qui ont aménagé une case pour y accueillir les voyageurs de passage. A 3000 CFA la nuit, et 1500 le plat copieux partagé en famille au coin du feu, pas de quoi se ruiner, tout en partageant de beaux moments, là où les aiguilles de la montre n’existent pas.
Iba qui tient le Farakaba à N’Dangan, une série de cases aménagées avec salle de bain privée, eau chaude (le luxe) propose des repas bien cuisinés Il vous fera également envoyer une pirogue pour quitter N’Dangane et rejoindre Mar Lodj.
Pour plus d’information, rendez-vous sur la fiche destination disponible sur www.bordeaux.aeroport.fr
Programmes susceptibles de modifications : consultez les horaires et périodes sur le site de la compagnie
L’aéroport de Bordeaux met à votre disposition différents parcs de stationnement adaptés à vos besoins.
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Pour plus d’information : Stationnez Facile
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L’envie de partir peut vous saisir à tout moment, hiver comme été, sur un coup de tête. Au départ de Bordeaux, c’est un large éventail de destinations qui s’offrent à vous. Le temps d’un week-end d’une petite semaine.