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Fondé en 1879, c’est le plus ancien atelier de sérigraphie du Tennessee encore en activité. Spécialisé dans la fabrication d’affiches, le Hatch Show Print travaille toujours à l’ancienne, avec des motifs et caractères sculptés dans le bois. Posters électoraux pour Franklin D. Roosevelt ou affiches annonçant les concerts locaux, chaque création est une œuvre d’art. Si ses productions sont aujourd’hui courus par les collectionneurs, le studio Hatch n’a dû sa survie à la fin des années 1980 qu’en imprimant des emballages de crèmes glacées ! Devenu un nec-plus-ultra, le Hatch Show Print produit désormais quelque 600 designs par an, tous en tirage limité.
C’est un des plus grands musées du monde consacrés à la musique. L’exposition permanente relate toute l’histoire de la musique blanche populaire américaine. Reliques (guitares légendaires, costumes exubérants, voitures de luxe…), disques d’or, tout est là, stupéfiant. Les expos temporaires approfondissent des aspects plus pointus (actuellement les liens entre Bob Dylan, Johnny Cash et Nashville) de l’histoire de la country. Chaque année, s’y tiennent les CMA (Country Music Awards), événement retransmis nationalement.
Il renferme à lui seul tout une partie essentielle de l’histoire musicale de Nashville. Propriété de la maison de disques RCA, cette petite maison renferme plusieurs studios d’enregistrements où ont été captées des chansons mythiques. Le Studio B était le préféré du roi Elvis Presley, qui aimait s’y rendre la nuit avec ses musiciens et y a notamment gravé les ballades «It’s Now or Never » ou « Are You Lonesome Tonight ?». Piano Steinway, batterie sommaire, les instruments d’époque y trônent encore, et la visite guidée, passionnante, révèle bien des secrets.
Véritable icône, le « Man in Black » méritait bien un musée. Ouvert en 2013 dans un immeuble du centre-ville, celui remplace l’authentique « House of Cash » à Hendersonville, dernier domicile du chanteur décédé en 2003 et vendu peu après. La vie tourmentée du trublion de la country y est racontée comme dans un biopic, du berceau jusqu’au cercueil. Les nombreuses vidéos et les documents uniques (les manuscripts de ses chansons emblématiques) y sont conservés. La présentation est naturellement très hagiographique mais néanmoins passionnante.
Au sortir du centre-ville, dans un immeuble payant peu de mine, c’est un dédale de pièces et d’allées où s’entassent mille antiquités pittoresques. Bienvenue dans le grenier de Nashville, au bonheur des chineurs. Journaux anciens, vêtements et mobilier vintage, bibelots insolites… Chaque objet ici semble raconter un petit bout de l’histoire de l’Amérique. Où des accessoires de carnaval côtoient d’antiques armes à feu, et où de vieilles enseignes publicitaires se dressent comme des vestiges flamboyants du « rêve américain ».
Immanquable, le refuge de Jack White est sans doute le disquaire le plus cool du monde. Et pas seulement parce que le boss des White Stripes y dirige ses bureaux, son studio d’enregistrement et sa salle de spectacles. Third Man Records ne vend que les productions de son propre label, souvent enregistrées sur place. On peut aussi y voir de fréquents mini-concerts gratuits, contre 25 dollars, s’enfermer dans une cabine téléphonique et graver en direct sa propre voix sur un 45 tours. Une guitare est à disposition pour qui veut s’accompagner. Neil Young y a enregistré tout un album.
Pas facile de manger bio sur Broadway, royaume du burger XXL, des frites abondantes et des alcools généreux. Dans ce restaurant historique, ouvert en 1892, on peut toutefois se régaler de produits frais, de burgers à la qualité contrôlée, de légumes, féculents et salades savamment préparées. La carte des cocktails est elle aussi intéressante et variée. Plusieurs espaces permettent de choisir l’ambiance voulue : en bas pour profiter du côté bar-saloon, dans le patio pour un moment cosy, ou à l’étage pour un repas assis plus traditionnel.
Loin des trop touristiques bars-concerts de Broadway, cet Oiseau bleu mérite qu’on paye une course de taxi. On y vient pour boire, manger et surtout pour la musique, toujours de haut rang. Les artistes de la ville s’y retrouvent pour partager leurs chansons, assis en rond au milieu de la pièce. Les spectateurs (90 places seulement) savent proscrire le bavardage et écouter pour profiter de l’instant magique, comme suspendu dans le temps. Garth Brooks et d’autres stars jouent parfois dans cet endroit déjà mythique, vu dans la série « Nashville ». Réservations fortement conseillées.
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